Innover, éviter les répétitions, rester dans la créativité à tout prix. Les objectifs de Vampire Weekend au moment de se lancer dans l’écriture de leur troisième album témoignaient d’une ambition certaine. A la première écoute, toutefois, la prise de risque semble très mesurée. Car, s’il n’est pas parfaitement dans la droite lignée de ses prédécesseurs, ce Modern vampires of the city ne ment pas. Ses auteurs sont d’emblée démasqués, avec leur pop molle, naïve et souriante, mais truffée de subtils artifices, tant rythmiques que mélodiques. à suivre…
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