Littérature

Franz Bartelt, pas n’importe qui

barteldCe brocanteur est capable de vous fourguer une chaussette de Rimbaud (avec trou au gros orteil), le tube digestif de Pantagruel ou un portrait du Christ réalisé par un officier romain. Il peut vendre n’importe quoi, mais, comme il le dit lui-même: «Je ne suis pas n’importe qui.» C’est dire si d’emblée on s’attache à ce narrateur si délicatement arrogant. Déjà, il s’appelle Majésu Monroe, c’est dire… Le jour où il rencontre Noème, fille rebelle d’une famille richissime, c’est le coup de foudre, sur fond d’alcool et de haine des nantis. Mais tout va vite basculer dans une guerre conjugale sans merci. à suivre…

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Un Ramuz si présent, par le texte et par l’image

Alors que s’achève la publication de ses œuvres complètes, Charles-Ferdinand Ramuz est au cœur d’un livre iconographique. Photos, manuscrits et autres documents d’archives éclairent cette figure complexe.ramuza

par Eric Bulliard

On l’a appelé «le chantier Ramuz»: une quinzaine d’années de travail pour aboutir à 29 volumes de plus de 500 pages, aux Editions Slatkine. Le dernier, qui contient des textes inédits, paraît la semaine prochaine. En parallèle, la maison d’édition genevoise publie un album iconographique de fort belle facture, Vies de C.-F. Ramuz. à suivre…

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Frédéric Verger, hors du commun

vergerIl figure dans la dernière sélection du prix Goncourt, qui sera décerné lundi. Comme Pierre Lemaître, Frédéric Verger est une des révélations littéraires de l’autom­ne, grâce à ce premier roman pour le moins étonnant. Arden se déroule en Marsovie, principauté imaginaire d’Europe centrale, durant la Seconde Guerre mondiale. Au cœur de la forêt, le gérant d’un hôtel de luxe et un tailleur juif écrivent d’innombrables opérettes, alors que la guerre approche. à suivre…

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Boris Razon, un voyage à travers les enfers

A 29 ans, Boris Razon contracte une maladie inconnue qui le laisse un mois dans le coma, totalement paralysé. Son roman, Palladium, nous entraîne dans un stupéfiant voyage aux confins de la conscience. à suivre…

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David McNeil, la chanson vue de l’intérieur

McNeilPar Eric Bulliard

Le nom de David McNeil, personnage à la fois discret et incontournable de la chanson française, ne parle guère au public d’aujourd’hui. à suivre…

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Au revoir là-haut, le picaresque épique

LemaîtreUn roman comme on n’en lit plus très souvent. Epique, classique dans sa forme, séduisant et léger malgré la gravité de certains thèmes. à suivre…

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Eduard Einstein, un cas sans solution

EinsteinQuelques années avant sa mort, le grand homme a écrit: «Mon fils est le seul problème qui reste sans solution.» à suivre…

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Jean-Philippe Toussaint, de miel et de cendres

toussaintLa rumeur le cite parmi les favoris du Goncourt, mais il ne faut jamais croire les rumeurs. à suivre…

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Karine Tuil, la spirale de l’imposture

tuilTant que Karine Tuil (auteure de Six mois, six jours en 2010) reste au plus près de ses personnages, qu’elle travaille cette pâte humaine avec brio, on est pris dans les mailles d’un roman sur le mensonge et la dissimulation. Et on se dit qu’il mérite de rester en course pour le Goncourt. Mais, aux deux tiers environ, le récit bascule. L’invention de nos vies cherche alors à embrasser l’histoire de ce début de XXIe siècle. Le livre endosse un costume qui paraît trop grand pour lui. Et l’on n’y croit plus. à suivre…

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Michel Layaz, cruauté ordinaire

layazLa vie d’un homme banalement médiocre se voit bouleversée par une insulte qu’un adolescent lâche au supermarché: «Pauvre type.» Et alors? Pas grand-chose. Si ce n’est que le type en question ne s’en remet pas. Que son existence parfaitement réglée vacille. à suivre…

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Le prix Edouard Rod à François Debluë

deblueFrançois Debluë est le lauréat du prix Edouard Rod pour l’ensemble de son œuvre. Poète et prosateur, l’écrivain vaudois a signé plus de vingt livres, dont, récemment, Fragments d’un homme ordinaire et Une certaine Chine. Le prix lui sera remis ce samedi à 11 h à la Fondation L’Estrée, à Ropraz.

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«Trois grands fauves», la fureur de vivre

fauvesQuatre romans, quatre surprises: révélé en 2005 par Le baiser dans la nuque, Hugo Boris avait confirmé avec un thriller fort habile (La délégation norvégienne, 2007) puis un tour de force littéraire, en apesanteur à bord de la station Mir (Je n’ai pas dansé depuis longtemps, 2010). à suivre…

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«Les renards pâles», l’insurrection qui vient…

renards«C’est l’époque où je vivais dans une voiture…» Formidable incipit, qui dessine une atmosphère en quelques mots. à suivre…

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Sylvie Germain, le long d’une vie

scènesLe livre refermé, il reste une étrange mélancolie. Le sentiment d’avoir glissé tout en douceur le long de cette vie, pas plus heureuse ni malheureuse qu’une autre. à suivre…

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Pierre Mérot, tout ça pour ça…

http://pandore/intranetv2/articles.nsf/0/AFD04B080ACDBAC0C1257BBien avant sa parution, on l’a présenté comme un livre sulfureux et maudit: à suivre…

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