Six mois après le triple album Messina, Damien Saez sort un Miami cru, radical et halluciné. Un disque qui ne va pas réconcilier fans et détracteurs de ce chanteur peu commun, libre et intègre.
par Eric Bulliard
Il peut agacer, avec ses postures d’éternel rebelle postadolescent. Saez s’en moque, poursuit sa route avec une intégrité viscérale. Totalement libre, puisqu’il s’autoproduit et refuse de jouer le jeu médiatique: on ne le voit pas à la télé, très peu dans les journaux. Ce qui ne l’empêche pas de remplir les salles. à suivre…