Loin des modes et d’un improbable succès grand public, Mark Lanegan n’en finit pas de composer la bande-son d’une Amérique délétère et profondément malsaine. Avec la sortie, demain, de son dixième album solo intitulé Gargoyle, le vétéran de la scène grunge de Seattle poursuit dans la veine qui ne cesse de le hanter. Sur des musiques d’obédience plutôt krautrock et des relents proto électro du milieu des années huitante, il parle de drogues, de manque, de pilules bienfaitrices, d’amours désenchantées qui rendent stone. à suivre…
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