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Fu Manchu, concerto psychédélique pour fuzz et bruitages

Si l’on en croit son pedigree, Fu Manchu devrait faire partie des grabataires du stoner. Fondé au milieu des années huitante, le groupe de Scott Hill a mis ensuite du fuzz dans son punk hardcore et gagné une notoriété mondiale à la fin du millénaire avec l’arrivée de Brant Bjork, l’ancien batteur de Kyuss, et la sortie de deux disques majeurs: The action is go et King of the road. La cinquantaine désormais entamée, le dernier rescapé des origines et ses larrons en foire poursuivent leur œuvre avec un douzième album sec et direct intitulé Clone of the universe. Sur la face A (car ils réfléchissent en termes de vinyles ces gars-là), les Californiens alignent six titres pied au plancher, toujours avec des guitares dans un galop fougueux et des envolées virtuoses. Première fissure dans l’édifice, Slower than light ralentit le tempo et abaisse, un temps, la fièvre. Pour mieux exploser avec Nowhere left to hide. à suivre…

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Pierre Béguin: le roman pour ne pas oublier

Pierre Béguin a déjà placé ce fait divers au cœur de Joselito Carnaval, en 2000. Mais l’horreur ne passe pas et tout n’était peut-être pas dit. Dans Et le mort se mit à parler, l’auteur genevois revient sur le même drame, survenu en Colombie en 1992. Avec le point de vue d’un protagoniste de l’histoire, dont l’identité n’est révélée qu’à la fin. à suivre…

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The Atomic Bitchwax, stoner ultrajouissif, tendance seventies

Vous aimez le rock pour mecs, avec des poils, de la sueur sous les aisselles, de la bière au coin du bar et des gros riffs sur scène? Alors écoutez de ce pas The Atomic Bitchwax, qui viennent de sortir leur septième album intitulé Force field. Projet parallèle de membres de Monster Magnet, ce trio du New Jersey distille un stoner ultrajouissif, très tendance seventies, avec une section rythmique aussi rectiligne qu’une highway dans le désert du Nevada et des plans de guitares qui rappellent autant Led Zeppelin que Black Sabbath, avec un goût prononcé pour les mélodies évidentes, à l’image de Crazy, ce titre que l’on imagine écouter à coin sur une autoroute, dans une grosse décapotable, cheveux au vent (disons plutôt calvitie au vent) et poussière dans la gorge. à suivre…

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Laurent Mauvignier, une quête familiale au Kirghizistan

continuerUne femme et son fils adolescent dans les montagnes du Kirghizistan. Le jeune homme partait en vrille, sa mère leur a organisé une randonnée à cheval au milieu de nulle part afin de reprendre goût à la vraie vie. Pour Sibylle, qui a vu ses rêves se briser net, ce voyage est aussi l’occasion de retrouver du sens.

Avec Continuer, Laurent Mauvignier ne se contente pas de signer un simple roman initiatique ni un récit de voyage. Il dépasse également la touchante histoire d’amour maternel et filial, la description extrêmement fine des tourments adolescents et ceux d’une femme divorcée.

Comme chez tous les romanciers importants, cette histoire, aussi émouvante soit-elle, ne serait rien sans la force de la langue. Qu’il évoque le drame du Heysel (Dans la foule, 2006), ou la guerre d’Algérie (Des hommes, 2009, un des romans français les plus extraordinaires de ces dernières années), Laurent Mauvignier empoigne son sujet avec une puissance vertigineuse et une manière unique de vous prendre aux tripes.

Ses phrases s’enroulent, s’envolent, s’entrechoquent avec une élégance sidérante, pour décrire la poussière, la boue, les yourtes kirghizes, les souvenirs de Sibylle, les peurs de Samuel, «l’humus de l’odeur humaine, salée, âcre» ou les pas des chevaux («claquement, martèlement, roulement sec frappé, rythmé, toujours avec le même son syncopé plus ou moins rapide plus ou moins fort, jamais défaillant»… ). De la grande littérature, mais toujours à hauteur humaine, à portée d’émotion.

Par Eric Bulliard
Laurent Mauvignier, Continuer, Minuit, 240 pages

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Fred Fortin, une coupe de tounes venue du lac St-Jean

FortinLe Québec regorge de chanteurs qui revendiquent un certain parler comme une ode folklorique à leur terre et à cet accent délicieux dont La Bottine souriante pourrait être le chef de file. Fred Fortin fait partie de ces incontournables de la chanson indigène, à l’image de Jean Leloup ou Ariane Moffatt et, par ses nombreux projets, jalonne le pays avec plus de septante concerts annuels.

Avec Ultramaar, le Canadien concocte un disque aux accents folk-rock qui ne rechigne pas à s’éclairer de quelques guitares country ou d’harmonies vocales proches des garçons de plages californiens. L’univers musical évolue sur un fil entre une base plutôt sombre et des intentions quasi psychédéliques pour des hauteurs plus pop.

La voix trouve une ligne originale, calée comme une onde déclamatoire sur l’harmonie instrumentale. Fred Fortin, sans fioritures, aborde l’écriture dans une énergie blues entre absurde et histoires du quotidien, laissant planer les personnages qu’il invente dans ce décor d’Amérique poussiéreuse. Toutefois, force est d’admettre que ce langage aux expressions typiques de la belle province est, malgré son charme, un peu hermétique pour qui n’en a coutume.

Par Guy Fragnière

Fred Fortin, Ultramarr, Grosse Boîte

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Sorj Chalandon, mon père, ce barjo

profession-du-pere-653527Ancien grand reporter à Libération, aujourd’hui journaliste au Canard enchaîné, Sorj Chalandon signe depuis quelques années des romans intimes et puissants. L’extraordinaire diptyque Mon traître (2008) – Retour à Killybegs (2011) revenait par exemple sur son amitié trahie avec un héros de la lutte pour l’indépendance irlandaise. Avec Profession du père, il va encore plus loin dans son histoire personnelle: par le biais de la fiction, c’est bien sa propre enfance qu’il revisite, à travers en particulier une figure paternelle odieuse, détraquée et pathétique. à suivre…

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Joe Rosenthal, le dernier héros d’Iwo Jima

Notre série Et puis plus rien s’intéresse à des artistes connus pour une seule œuvre. Comme Joe Rosenthal, qui photographia la célèbre Elévation du drapeau sur Iwo Jima, avant de devenir un reporter anonyme pour le San Francisco Chronicle.

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par Christophe Dutoit

Durant sa carrière de reporter, Joe Rosenthal (1911-2006) a sans doute pris plusieurs dizaines de milliers de photographies. Lorsqu’il se retire du métier à l’âge de 70 ans, il doit se rendre à l’évidence: sa notoriété internationale ne tient qu’à une seule image, montrant six soldats élevant le drapeau américain sur Iwo Jima, au large du Japon. Et encore. Si une immense majorité de la population mondiale connaît aujourd’hui cette image, peu savent le nom de son auteur et l’histoire qui entoure sa réalisation. à suivre…

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Et vous, c’est quoi votre plus belle chanson du monde?

Eric Bulliard et Michaël Perruchoud font passer leur projet du blog au livre. Je ne laisserai jamais dire que ce n’est pas la plus belle chanson du monde… réunit huitante chroniques écrites par une cinquantaine d’auteurs. Chacun défend son morceau et parfois même plusieurs. A cœur ouvert, entre confidences et cris de rage.

E.Bulliard, M. Perruchoud, ©R.Gapany

E.Bulliard, M. Perruchoud, ©R.Gapany

par Yann Guerchanik

On y croise Bob Dylan et Gérard Manset. Renaud, Mano Solo et Thiéfaine qui se tirent la bourre. Il y a Brassens, Brel et Ferré. AC/DC qui rivalise avec Public Enemy. Neil Young est là, tout comme Barbara, Gainsbourg et Meshuggah. Des grands et des peu connus. Huitante chansons, plus belles les unes que les autres. Ils sont cinquante à le clamer: Je ne laisserai jamais dire que ce n’est pas la plus belle chanson du monde… Des écrivains, des musiciens ou quiconque en a envie. Deux conditions seulement: «être totalement sincère et d’une mauvaise foi parfaite.» à suivre…

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The Black Keys griffé Danger Mouse

blackkeysPoids lourd du rock de stade à l’américaine, The Black Keys auraient pu se contenter d’un agréable successeur au binôme Brothers (2010) et El Camino (2011). De toute façon, leur concert à Paléo est complet depuis belle lurette… à suivre…

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Broken Bells, quoi après le disco?

brokenTout est dans le titre. Alors qu’un duo parisiano-casqué vient de glaner un grammy pour le meilleur disque disco du XXIe siècle, Broken Bells propose de pousser le bouchon un peu plus loin. Pour son deuxième album sorti hier, le groupe de Brian Burton (surnommé Danger Mouse, producteur de Gorillaz, U2, The Black Keys ou Norah Jones) et James Mercer (chanteur de The Shins) propose non pas une relecture vaine des hits des Bee Gees, mais bien de faire comme si cette vague dansante des eighties ne s’était jamais arrêtée. à suivre…

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Goldfrapp, voluptueuse symphonie

goldfrappOn l’avait connue en 1995 sur l’indépassable album Maxinquaye de Tricky (elle était la voix de Pumpkin). Puis, Alison Goldfrapp s’envola en son nom propre avec son nouveau mentor Will Gregory. Grâce à sa voix de Kate Bush, elle rejoignait alors la vague trip-hop en pleine effervescence et accoucha d’une poignée d’albums synthétiques plutôt ensorcelants. à suivre…

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Montreux Jazz Festival, amours saumâtres

princeCombien de temps encore durera l’histoire d’amour entre Prince et le public du Montreux Jazz Festival?

En 2007, le kid de Minneapolis donnait un concert d’anthologie, rassasiant ses fans avec une apparition surprise à 3 h du matin au Montreux Jazz Café. La légende raconte que le musicien finira au petit matin par jouer, tout seul, au piano du Palace. Un mois plus tard, rebelote à Londres, où Prince joue 21 soirs, à chaque fois devant 20000 personnes, sans jamais répéter le même concert.

Il n’en fallait pas tant pour que Claude Nobs réinvite le bonhomme en 2009. Pour deux concerts le même soir, pour chacun desquels les amoureux se sont empressés de prendre un billet. Malgré la douloureuse, le show en valait – paraît-il – la peine.

Jamais deux sans trois. En février 2013, un mois après le décès du fondateur, Montreux offre son Stravinski trois soirs à sa majesté. Samedi, le virtuose ne daigna pas emmancher sa guitare ni s’asseoir derrière son piano. Avec ses 20 musiciens, il s’est juste mué en maître de cérémonie digne de James Brown, rapportent des critiques plutôt saumâtres. Mieux encore. A la fin de la prestation, on annonce une after au Lab. Prix d’entrée: 100 francs.

Là, franchement, c’en est trop, on dépasse les bornes! Devant une salle à moitié pleine (ou moitié vide, c’est selon), les pigeons assistent à trois solos de trente secondes durant le concert de Larry Graham! Et le pire dans tout ça, c’est qu’on les y reprendra encore…

par Christophe Dutoit

Les trente secondes de solo de Prince durant le concert de Larry Graham et son Graham Central Station…

 

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Friedrich Hölderlin: poésie et folie dans la tour

Friedrich Hölderlin (1770-1843) a vécu trente-six ans dans une tour de Tübingen, en écrivant d’étranges «poèmes de la folie». Suite de notre série consacrée aux lieux qui ont abrité ou inspiré la création d’œuvres.tubibgen

par Eric Bulliard

Il hurle, griffe, mord… Ce 11 septembre 1806, la vie de Friedrich Hölderlin bascule. Le poète raffiné, nourri par la Grèce antique, est emmené de force dans un asile d’aliénés, à Tübingen, au sud de Stuttgart. à suivre…

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La dixième saison du CO2 poursuit sur la voie de l’éclectisme

Adamo, Maxime Le Forestier, Thierry Lhermitte et Patrick Timsit figurent parmi les têtes d’affiche de la dixième saison de la salle CO2, à La Tour-de-Trême. Au total, 21 spectacles sont au programme, avec du théâtre, de la chanson, de la danse, de l’humour…

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Par Eric Bulliard

L’association CO2 présentait hier à la presse le programme de sa dixième saison. Un anniversaire marqué par une journée de fête: le 14 septembre, des spectacles seront donnés dans et hors de la salle, avec du théâtre (Céline Cesa), de la danse (Da Motus), de la chanson (Marc Aymon), du cirque, des chœurs…

Autre fait marquant: jamais autant de spectacles n’ont été programmés. Il y en aura 21, pour tous les goûts et tous les âges, puisque quatre d’entre eux sont estampillés jeune public. Celui d’ouverture (Brigitte Rosset) et de clôture (Tim et les Invizibles) sont en outre proposés à des prix symboliques.

Théâtre et vedettes

Deux têtes d’affiche se partagent la vedette d’Inconnu à cette adresse: Thierry Lhermitte (qui viendra pour la troisième fois à CO2) et Patrick Timsit. «Ce n’est pas pour autant une pièce comique», souligne Dominique Rime, directeur artistique. La pièce, qui triomphe à Paris depuis plus d’une année, suit la relation épistolaire entre un Allemand et un Juif américain, alors que monte le nazisme.

Inconnu

Après sa venue lors de la première saison, dans – 2 avec Jean-Louis Trintignant, Roger Dumas sera de retour dans L’étudiante et Monsieur Henri. Autre triom-phe parisien, qui, paraît-il, combine humour et émotion.

Théâtre encore

Le metteur en scène chaux-de-fonnier Robert Sandoz sera présent à travers deux pièces: Monsieur Chasse, de Feydeau, et Le combat ordinaire, adapté de la bande dessinée de Manu Larcenet. Quant à Invisibles, de Nasser Djemaï, elle présente des immigrés tiraillés entre les deux rives de la Méditerranée. «Une pièce pleine de tendresse et d’humanité», relève Jean-Paul Oberson, membre de la commission culturelle intercommunale.

En chanson

«Depuis quelques saisons, nous essayons de faire venir des chanteurs qui ne se sont jamais produits à Bulle», souligne Dominique Rime. Ce sera le cas avec Salvatore Adamo, accompagné d’une dizaine de musiciens, et Maxime Le Forestier, dans une tournée qui suit la sortie de son nouvel album, Le cadeau.MaximeLeforestier

Musique encore

CO2 accueillera également un ovni, une curiosité qui enthousiasme les salles (et le net): formé de huit chanteurs israéliens, le groupe Voca people présentera son spectacle musical fondé sur la maîtrise de l’a capella.

Autre voix impressionnante: Michaël Gregorio. «Il avait fait un carton ici en 2009», rappelle Dominique Rime. Imitateur aussi bien de Depeche Mode et des Rolling Stones que de Balavoine et Shakira, il revient avec un nouveau spectacle, En concerts. Dans un tout autre genre, l’Opéra de Fribourg présentera sa production annuelle, Le voyage dans la lune, d’Offenbach.

Créations d’ici

Fidèle de CO2, le Théâtre des Osses interprétera Rideau! Cette création marquera les adieux de Gisèle Sallin et Véronique Mermoud au théâtre qu’elles ont fondé il y a trente-cinq ans.

Alain Bertschy va proposer une nouvelle version de Bus tour, qu’il a conçu à Fribourg (avec Julie Gilbert). Les spectateurs prendront place dans un bus qui sillonne la ville. La comédienne Céline Cesa les accompagnera, ainsi que des témoignages de Bullois. «Avec ce kaléidoscope de différentes personnes, l’idée est de montrer le cœur d’une ville», indique Alain Bertschy. Six représentations sont prévues, chacune avec un maximum de quarante participants.

Début en Humour

La tradition veut que la saison culturelle de CO2 ouvre avec de l’humour: cette année, Brigitte Rosset lancera les festivités le 13 septembre, avec Smarties, Kleenex et Canada Dry. Autre humoriste romand, Marc Donnet-Monay reviendra à La Tour, avec «son meilleur spectacle», selon Dominique Rime.

Danse et cirque

Life est présenté comme le coup de cœur du programmateur: créé l’année dernière à Lausanne, ce spectacle de la compagnie Octavio De La Roza (ancien danseur de chez Béjart) est un «duo plein d’invention», un «hymne à l’amour et à la vie bouleversant, avec une bande-son exceptionnelle».

Danse d’un autre genre, avec Yoo Gee Ti, «un spectacle assez extraordinaire», chorégraphié par Mourad Merzouki. Il mêle hip-hop français et danse contemporaine taïwanaise.

Enfin, Aurélia Thierrée proposera Murmures des murs. Comme son frère James, la fille de Victoria Thierrée-Chaplin (qui la met en scène) et Jean-Baptiste Thierrée, est la digne héritière des créateurs du Cirque invisible, venu à La Tour-de-Trême en 2011. Acrobate, mime, danseuse, elle interprète un spectacle «plein de poésie, de magie et de grâce».

Murmures

Tout public

Après une première expérience réussie la saison dernière, quatre spectacles tous publics seront proposés. Dont une création du cru, Les aventures de Pinocchio, mis en scène par Geneviève Pasquier, avec Céline Cesa et le Quintette Eole. Le chanteur Aldebert jouera son deuxième spectacle jeune public, Enfantillages 2. Sébastien Mossière donnera un spectacle de théâtre et magie, alors que Tim et les Zinvisibles viendra clore la saison. Créé au Théâtre de Poche de Lausanne, la pièce est signée Sandra Korol.

En chiffres

La saison dernière a été celle de tous les records: pour la première fois, la barre des 10000 spectateurs a été franchie. Sept spectacles ont été joués à guichets fermés et 525 abonnements ont trouvé preneur, alors qu’il n’y en avait jamais eu plus de 400. «Et nous avons eu beaucoup de très bons échos. Ce qui met un peu de pression pour cette saison du dixième anniversaire…»

 

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Frank Turner, le numéro 2 des charts à Ebullition

Ebullition frappe un tout grand coup en accueillant Frank Turner, ce mercredi soir. Après avoir rempli les plus grandes salles anglaises, le chanteur folk promet une performance très généreuse et énergique. Une soirée qui s’annonce exceptionnelle, selon le programmateur Flavien Droux.turnera

par Laurent Rumo 

Après le poisson d’avril, Ebullition présente le poisson de mai. Il s’agit même d’un tout gros poisson et point de farce. En programmant Frank Turner, le club bullois a réussi une pêche miraculeuse. Le chanteur folk britannique fera l’honneur d’une visite bulloise ce mercredi soir, quelques jours seulement après avoir bouclé une tournée triomphale en Angleterre. à suivre…

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