Cinéma

Ida Lupino, réalisatrice libre, au regard tellement humain

Jusqu’à samedi, la 30e édition du Festival international de films de Fribourg rend hommage aux femmes. Parmi elles, Ida Lupino (1918-1995), scénariste, actrice et, surtout, réalisatrice de films originaux, profondément humains. Retour sur la trajectoire d’une figure bien oubliée, pionnière du cinéma indépendant américain. à suivre…

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Restez calme, le Docteur arrive… pour la 50e année

Voilà un demi-siècle que le Doctor Who sauve le monde sur la BBC et entraîne le spectateur dans l’univers de science-fiction le plus déroutant et le plus riche créé à la télévision.doctorwhob

par Romain Meyer

Si vous marchez sur une planète morte, voyagez sur un Titanic interstellaire, combattez une ombre meurtrière, subissez une invasion d’automates au XVIIIe siècle ou assistez à la fin du monde depuis un point de vue privilégié, il y a de fortes chances que vous voyagiez avec le Docteur. «Docteur qui?» demanderez-vous. «Justement», répondra-t-il. à suivre…

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Un voyeurisme intellectuel

Dans la maison, comme certains de ces vins complexes, à la fois courts en bouche, veloutés et acerbes, laisse une sensation difficilement définissable. Un peu dégoûté, un peu mal à l’aise, un peu voyeur malgré lui, le spectateur ne ressortira en tout cas pas indifférent de cette expérience. à suivre…

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Quand Joe junior croise Joe senior

En 2074, il est devenu impossible de se débarrasser d’un corps en raison des moyens de traçabilité. Mais la Mafia, qui n’a rien perdu de sa créativité à la fin de ce XXIe siècle, trouve un moyen imparable: elle place les individus à éliminer dans une machine à remonter le temps et les renvoie cagoulés trente ans plus tôt: c’est là que les attend, pétard en joue, le Looper, un tueur à gages. à suivre…

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Resident evil V, un châtiment pour tous

Il y a des mauvais films qui vont tellement loin dans la nullité qu’ils en deviennent presque géniaux. Presque… car il ne faudrait pas exagérer non plus. Paul W.S. Anderson, qui traîne derrière lui des œuvres de qualité discutable (doux euphémisme), de Mortal kombat à Alien vs predator en passant par une version post-Matrix (et 3D) des Trois mousquetaires, aura participé à la totalité des opus de la franchise Resident evil, soit en tant que réalisateur, que scénariste ou producteur, et de manière générale à ce que le cinéma a fait de pire ces dernières années. à suivre…

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Bourne, reviens!

Ça sent l’arnaque à plein nez cette histoire! Jason Bourne: l’héritage sans Jason Bourne dedans. Les aventures sans Tintin, les vacances sans Monsieur Hulot, des sources sans Manon et pourquoi pas La passion du Christ sans le Christ pendant qu’on y est? à suivre…

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Des hommes sans loi, tout y est et tout manque

Deux frères se disputent. Le puîné ébouriffe les cheveux gominés du benjamin. Plan suivant: deux coqs se chamaillent. C’est bon? Tout le monde a bien compris? Comme un combat de coqs, oui, c’est ça. Un détail, mais symptomatique de tout un film qui se croit obligé d’appuyer, d’insister, d’expliquer en voix off ce qu’est la prohibition. à suivre…

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Chez Hortense, un tissu de non-dits

«C’est simple: quelqu’un va peut-être avoir un problème parce que j’ai pas parlé à quelqu’un de quelque chose dont j’aurais dû lui parler. Et maintenant, je dois le dire à ce quelqu’un et je sais pas comment. à suivre…

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Starbuck, papa… 533 fois!

Ça commence comme une comédie américaine. Pas du divertissement à la Lubitsch, plutôt de la tarte façon American pie. Avec du cru, du cul, du cucul. Comme il ne faut cracher ni dans la soupe ni sur le potache, on en reprend une louche. Avec d’autant plus d’alacrité qu’on découvre très vite un arrière-goût savoureux, du plus subtil qui prend le dessus. à suivre…

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The Expendables 2, papys et pas fiers de l’être

On nous a menti. On annonçait une apparition de Novak Djokovic en tennisman tueur de terroristes, il a été coupé au montage. Pour tout dire, on s’en fichait un peu, mais n’empêche qu’on nous a menti. On annonçait un casting de rêve (à chacun ses rêves…) avec Stallone, Van Damme, Schwarzenegger, Bruce Willis, Chuck Norris, Jet Li et quelques autres gros bras. à suivre…

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La part des anges, à travers le rire, la lutte sociale

 

A la fin de Looking for Eric (2009), on avait juste envie de relever son col, de gonfler sa poitrine et d’affronter le monde entier. A la fin de La part des anges, on a juste envie de s’offrir un single malt hors d’âge et de le déguster les yeux fermés. Et certains continuent à trouver que Ken Loach est déprimant… à suivre…

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