BD

Maruo, l’amour sur le fil du rasoir

Depuis plus de trente ans, le Japonais Suehiro Maruo, récent invité d’honneur du festival d’Angoulême, visite en BD les recoins les plus obscurs du désir. à suivre…

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L’érosion des larmes par un nouveau maître italien

Dans sa dernière œuvre, l’Italien Gipi propose un voyage multiple, dans le temps et les esprits. Une visite inoubliable et perturbante.
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par Romain Meyer

On connaissait Hugo Pratt, Milo Manara, Sergio Toppi ou Lorenzo Mattotti… Aux maîtres italiens du 9e art, il faut dorénavant rajouter Gipi, dont le dernier ouvrage traduit, Vois comme ton ombre s’allonge, qualifie largement pour ce titre. Et cela, bien qu’il soit venu assez tardivement à la bande dessinée. Né à Pise en 1963, Gianni Alfonso Pacinotti, dit Gipi, se lance en effet dans le dessin en 1994 – il est, depuis, apparu dans plusieurs magazines transalpins et est l’hôte régulier du quotidien La Repubblica – mais c’est à 40 ans seulement qu’il publie son premier récit en BD, Extérieur nuit. à suivre…

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Oz revisité

OzD’Oz, on ne connaît souvent que le magicien. Et pourtant. à suivre…

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Christophe Bertschy croque nos people à nous

minipeopleJusque-là on subissait la loi médiatique des «pipoles» lointains, envahissant nos journaux et nos écrans par défaut. à suivre…

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Master Keaton, enquêteur multitâches

keatonTaichi Hiraga Keaton est un être multiple, inattendu, moitié Japonais, moitié Anglais. Chercheur en archéologie, ancien des forces spéciales britanniques et enquêteur pour la compagnie d’assurance Lloyd’s, il représente le bon Samaritain des causes difficiles, l’homme providentiel qui parcourt le monde pour aider aux gens. à suivre…

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Alan Moore, le génie glaçant et agaçant

couvNemoEn quelques semaines, Alan Moore est devenu le possesseur d’un don étonnant, celui de l’absence ubiquiste: à suivre…

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Reiser: trente ans après, il est encore le meilleur

Trente ans après sa mort, Reiser demeure le plus corrosif et le plus drôle des dessinateurs. Un album lui rend hommage et confirme l’étendue de son talent.

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par Eric Bulliard
Dans la série «c’est toujours les meilleurs qui s’en vont», Reiser a tenu le mauvais rôle, il y a tout juste trente ans. En novembre 1983, un cancer des os brisait la trajectoire du dessinateur le plus libre, le plus corrosif, le plus brillant de sa génération. Et des suivantes. Que ce soit au sein de Hara Kiri, de Charlie Hebdo ou de chaque magazine et journal où il a travaillé, Reiser les surclassait tous. Un album souvenir vient le rappeler avec fracas. En permettant la comparaison avec ses con­gé­nères, un ouvrage consacré au «journal bête et méchant» (1960-1985, La gloi­re de Hara Kiri) le confirme. à suivre…

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Le sou porte-bonheur de Disney

picsouParmi tous les artistes qui ont œuvré à la gloire de Disney, peu ont réussi à sortir de leur anonymat. à suivre…

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L’onde Septimus, dommage, trop d’hommages

Soixante ans après sa publication dans le Journal de Tintin, La marque jaune tient enfin sa suite. Parmi les premières bandes dessinées du XXe siècle à ne plus s’adresser à un public d’enfants, elle aurait mérité mieux que cette pâlotte Onde Septimus.mortimer

par Christophe Dutoit

Depuis la mort d’Edgar P. Jacobs en 1987, la question ne cesse de diviser les puristes et les autres: fallait-il vraiment donner une suite aux aventures de Blake et Mortimer? N’aurait-il pas mieux valu que la série s’arrêtât avec Les 3 formules du professeur Satô, dernier tome d’une quête inachevée et, par là même, d’autant plus fascinante? à suivre…

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Blacksad, voir le Texas et mourir

blacksadTrois ans d’attente pour le nouveau Blacksad, la plus noire des BD animalières. Ce cinquième tome se la joue road movie, entre Jack Kerouac et la Route 66. La mission semblait simple pour la panthère: après avoir décidé de quitter le métier de détective, Blacksad accepte de conduire une voiture jusqu’au Texas. Mais la situation devient vite incontrôlable, quand deux beatniks allumés lui dérobent son véhicule. Une course-poursuite s’engage, les cadavres s’entassent et tout se terminera dans un drôle de cirque. à suivre…

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Godmother, sorcière destroy et bien aimée

ScaryApparue à la fin des années 1990, au moment où la bande dessinée «gothique» soufflait un vent funèbre sur la production américaine, la vilaine fée de la dessinatrice Jill Thompson vient répandre ses tours espiègles en français. Car la sorcière au look destroy, qui fait penser au héros de L’étrange Noël de Monsieur Jack, représente bien le côté joyeux d’Halloween. Les vampires sont amoureux, les monstres sous le lit ne terrorisent que les méchants enfants et les petites filles s’amusent avec les chats fantômes. Avec Scary Godmother, le monde de la nuit se fait sensible.

Cette série destinée aux plus jeunes – mais dont la lecture peut se faire à tout âge – a permis à Jill Thompson de remporter le prix Eisner de la meilleure artiste peintre en BD. Illustratrice de Sandman et de Bêtes de somme, l’Américaine a su créer un univers rempli d’une belle et obscure douceur.

Par Romain Meyer

Jill Thompson, Scary Godmother, Delcourt

Notre avis: ♥♥

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A la gloire des méchants

Le journaliste Christophe Quillien propose une sélection des meilleurs méchants de la bande dessinée. Un bel hommage à ceux sans qui les héros n’existeraient pas.gargamel

par Romain Meyer

Olrik, Rastapopoulos, les Rapetou, Gargamel, le Bouffon vert… Une belle brochette de salopards, d’ignobles individus à l’ego démesuré, bref de bons gros méchants. Et, à y penser, presque aussi célèbres que les héros qu’ils mettent en lumière. En effet, que seraient les Blake et Mortimer, Tintin, Picsou, Schtroumpfs et autre Spider-Man sans leur double maléfique? La réponse est simple: rien. A peine quelques falots boy-scouts dont les actes de bravoure se résumeraient à faire traverser mamie dans les clous. Aucun destin formidable, aucune aventure sidérale et, surtout, aucun intérêt.

Christophe Quillien dresse un panorama presque complet de la mauvaise foi, du cynisme, de l’égoïsme et de la cruauté dans le monde des bulles.

à suivre…

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Briones & Huet, planète geek

geekLe geek est à la mode. On le voit partout, cet ancien binoclard versé dans les «cultures de l’imaginaire», spécialiste de jeux vidéo, d’informatique, de science-fiction, de dessins animés japonais ou de super-héros. Maintenant il est même au cœur d’une BD qui représente un hommage référencé à la «geekitude». à suivre…

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«Deadline», la couleur de la différence

deadlinePar Romain Meyer

En pleine Guerre de Sécession, Louis Paugham est un jeune soldat du Sud esclavagiste. à suivre…

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Masks, ces «pulp fictions»

masksAprès Alan Moore qui avait rassemblé les héros de la littérature fantastique du XIXe siècle dans sa Ligue des gentlemen extraordinaires, Chris Roberson a décidé d’associer dans Masks les héros masqués de pulps, à suivre…

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